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Illusions d’optique et bande dessinée

En 1982-83, je m’étais inscrit à l’université de Paris-Sorbonne, rue Michelet, pour un cursus d’Art et Archéologie. Je suivais des cours de cinéma et de communication, tout en travaillant comme professeur de dessin dans un collège du treizième arrondissement. En février 83, j’ai remis un dossier d’une cinquantaine de pages pour valider une UV (unité de valeur), dont je n’ai pas le souvenir qu’elle m’ait été accordée. C’était ma dernière inscription en Fac, après quelques années passées à Jussieu, Paris VII, pour un DEUG en Chimie-Biologie, puis pour une licence  et maîtrise d’environnement (déjà) dans les années 70.

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J’avais toujours été attiré par les illusions d’optique. Voir ou ne pas voir, être trompé par une apparence, discerner un sens caché, imaginer l’impossible, remplir les vides. Par ailleurs, j’avais déjà à cette époque une bédéthèque qui faisait ma fierté, avec la plupart des auteurs classiques de bandes dessinées, autour de la ligne claire et de l’école Belge, du journal Tintin, de Spirou, de Pilote (le journal du mâtin), mais aussi d’autres dessinateurs américains ou européens que j’appréciais particulièrement.

J’ai donc voulu joindre ces deux centres d’intérêt, et cherché l’utilisation du premier dans le domaine du second. Je crois que cela reste d’actualité, n’ayant pas aperçu d’invention graphique notable dans les productions récentes du 9ème Art. Cela dit je peux me tromper, le nombre d’albums édités chaque année étant difficile à suivre… Le dossier est ci-dessous, au format diaporama, qui s’arrête quand le curseur est sur l’image. Vous pouvez aussi le consulter au format PDF, ici.

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